La dématérialisation des Factures n’est toujours pas d’actualité pour un grand nombre de PME…

Article de l’ITExpresso  du 20 Mars 2013 – Auteur : A. Confolant

Selon le premier baromètre de Sage « Les PME et la facture électronique »,  le marché de l’e-facture en France reste balbutiant.

Sur les 1 144 petites et moyennes interrogée, en termes de volume de factures émises (électroniques ou papier), 35% d’entre elles envoient de 1 000 à 5 000 factures par an (et 30% en envoient entre 100 et 1000).

Le volume de factures reçues est légèrement supérieur : 41% des PME déclarent recevoir de 100 à 1000 factures par an, 37% indiquent traiter un volume de 1000 à 5000 factures.

Mais seulement 28% d’entre elles ont recourt à la dématérialisation de ces factures.

En faisant appel aux factures électroniques, les PME misent avant tout, selon Sage, sur la simplicité (consultation, traitement, archivage), la traçabilité (suivi de l’envoi, accusé de réception) et les gains de productivité.

Cette dématérialisation, pour 43% des structures sondées, répond avant tout à une contrainte imposée par les clients donneurs d’ordres.

Toutefois, le développement de l’utilisation des factures électroniques est aujourd’hui freiné par des technologies et des modes de transmission « encore très rudimentaires ».

Le mode d’envoi des factures électroniques le plus utilisé par les PME est le PDF simple par e-mail (83% des entreprises interrogées).

« Les PME ne perçoivent pas encore totalement la valeur ajoutée dont elles pourraient bénéficier dans le cadre d’une offre intégrant le processus complet  de dématérialisation « machine to machine ». Le PDF, pourtant le mode le plus usité, n’est pas celui qui apporte le plus de bénéfices que ce soit en termes de traçabilité et d’automatisation des processus », note Magali Kolnik, chef de marché dématérialisation de Sage.

sage facture electronique pme

Toutefois, certaines activités sont plus avancées dans le processus d’envoi et de gestion des factures électroniques. Les secteurs des  banques, assurances et services financiers utilisent  l’EDI (Echange de Données Informatisées) pour 20% des PME interrogées, le secteur de la distribution à hauteur de 13%.

En 2013, les Entreprises Françaises ne sont pas encore « Full Web-connected »

Article de l’ITExpresso  du 27 Mars 2013 – Auteur : Ph. Guerrier

Ciena, spécialiste réseaux et de la connectivité backbone d’origine américaine, a commandé une étude Vanson Bourne à propos de la qualité des services d’accès à Internet pour les entreprises européennes (y compris françaises).

Globalement, à en croire l’étude Ciena (Etude en Anglais via le lien), près de quatre entreprises interrogées sur dix se déclarent mécontentes de la qualité de service et de la valeur de connectivité de type Wide Area Network (WAN)*.

On y apprend que près d’un tiers (32%) des entreprises françaises se disent mécontentes de leur fournisseur de services de connectivité. Tout comme leurs homologues allemands, elles déplorent la lenteur de la connexion (19 % côté France, 21 % côté Allemagne).

Par pans de secteurs d’activité, plus de quatre entreprises publiques sondées sur dix (44 %) se disent plutôt insatisfaites, suivies par celles des services financiers (43%) et le secteur public (40 %).

Interrogées sur la principale faiblesse des fournisseurs d’accès, près d’un quart (23 %) des entreprises du secteur des services financiers citent « l’absence de contrat de niveau de service sur mesure », les professionnels des médias et divertissements déplorent plutôt « le débit trop bas » (27 %), tandis que les entreprises de services publics se plaignent autant du « débit trop bas » (18 %) que « des normes de sécurité insuffisantes » (18 %).

Pourquoi il est difficile de lever ce type d’obstacle ? 24% des DSI britanniques interrogés considèrent que la planification et l’investissement dans une connexion WAN n’est pas compatible avec la période de disette budgétaire.

Du côté de la France et de l’Allemagne, on évoque surtout des problématiques de sécurité des données transmises (respectivement 38% et 36%).

Ciena aboutit à un classement des critères les plus importants pour la sélection d’un fournisseur d’accès WAN : la sécurité des données transmises (31 %), la capacité de bande passante (22 %) et le prix (16 %).

[*Wan : Réseau au-delà de votre réseau, interne à l’Entreprise. En clair, cela constitue la toile]

Et vous ? Utilisez vous votre smartphone ou tablette personnelle dans votre Entreprise ?

Nous utilisons tous, en 2012, les nouveaux outils de communication et de divertissements que sont les smartphones, les tablettes pc, les appareils photos numériques, les agendas électroniques (PDA)… Au moins une fois dans la journée, nous consultons notre messagerie, nos photos ou vidéos, notre planning… et nous utilisons les fonctions GPS ainsi que toutes celles liées à internet.

Au fur et à mesure que ces outils prennent une part grandissante dans notre quotidien, un manque voir une frustration se fait sentir au sein de notre travail.

Pourquoi ne pas utiliser ces mêmes outils au boulot ? Comment faire comprendre à nos dirigeants de fournir ces outils voir d’accepter l’utilisation des outils personnels dans le cadre de l’entreprise ? Pourquoi ne nous permettons pas d’être aussi mobile que dans la vie courante ?

Telles sont les questions sur la mobilité des salariés et de la mode du « BYOD » ?

Définissons tout d’abord à quoi correspond ce terme !?

Le terme « Bring Your Own Device » ou en français « apportez votre appareil personnel », traduit la disparition de la frontière entre les univers « pro » et « perso ». En effet, le BYOD repose sur l’utilisation par le salarié de son matériel informatique personnel (tablette, PC portable, smartphones) dans le cadre professionnel.

L’utilisation des outils personnels pour la nouvelle génération :

L’étude, menée dans 15 pays* au cours des mois de Mai/Juin 2012 par Fortinet – l’un des leaders de la sécurité réseau haute performance –  a interrogé plus de 3 800 salariés actifs âgés de 20 à 29 ans pour connaitre leurs points de vue sur le BYOD, son impact sur leur environnement de travail et leur approche en matière de sécurité informatique d’entreprise et personnelle.

Le résultat est nettement significatif :

  • 74% de l’ensemble des sondés se livrent déjà régulièrement à cette pratique contre 64% des Français.
  • 55% des personnes interrogées et 69% des Français, considèrent l’utilisation de leurs appareils au travail comme un ‘droit’ plutôt qu’un ‘privilège.’

En cause, la dépendance à ces outils :

  • 35% des sondés admettant qu’ils ne pourraient pas passer plus d’une journée sans avoir accès aux réseaux sociaux,
  • 47% d’entre eux seraient incapables de passer une journée sans SMS.

Quelles sont les conséquences pour l’entreprise (entre autre la sécurité informatique) ?

  • 42% de l’échantillon (contre 36% des Français seulement) estiment que la possibilité de perte des données et l’exposition aux menaces informatiques malveillantes est le principal risque,

Et pourtant,

  • 36% (30% des Français) ont admis qu’ils ont ou seraient prêts à transgresser la politique de l’entreprise interdisant l’utilisation des appareils personnels à des fins professionnelles.
  • 30% de l’ensemble des personnes interrogées (contre 25% de Français) admettant qu’elles ont ou seraient prêtes à transgresser la politique de sécurité de leurs entreprises.
  • 66% (et 69% des Français) se considèrent eux-mêmes – et non l’entreprise – responsables de la sécurité de leurs appareils personnels utilisés à des fins professionnels.

Cette étude montre au final que les DSI (Directions informatiques) doivent tenir compte de l’utilisation de ces outils afin de mettre en place une politique de sécurité forte sur l’accès aux applications de l’entreprise et aux transferts de données.

En conclusion de cette enquête, Yann Pradelle, Vice-Président Régional Europe du Sud et Afrique chez Fortinet déclare :

« Les organisations ne peuvent pas compter sur une seule technologie pour répondre aux défis de sécurité du BYOD. La stratégie de sécurité réseau la plus efficace demande un contrôle précis sur les utilisateurs et les applications, et pas seulement sur les appareils. »

Le prochain billet fera l’objet des principes de sécurité à mettre en place pour accueillir les « outils informatiques » personnels.

Enquête sur l’Optimisation des outils Informatique des PME

Le cœur de métier de notre société est l’optimisation et la sécurisation des systèmes d’informations des PME.

L’informatique est un centre de coût. Comme tous les outils utilisés dans l’Entreprise, l’Informatique peut rapidement couter et faire perdre du temps.

Il convient donc d’optimiser les dépenses informatiques, en ne réalisant des dépenses uniquement sur des outils qui permettront de faire gagner en productivité. Cela consiste en la mise en place d’actions, telles que :

  • L’automatisation des process n’apportant aucune valeur ajoutée ;
  •  L’optimisation de la communication des outils entre eux ;
  • La connaissance des outils informatiques par les salariés ;
  • La définition de procédures d’Organisation (Supports papiers ou numériques) permettant aux salariés de s’appuyer sur les process de l’Entreprise ;
  • La mise en place d’outils de communication, de partage d’informations et de diffusion d’une base de connaissances …

Afin de recenser l’organisation et les besoins des PME du Poitou-Charentes, nous réalisons actuellement une enquête dont nous espérons votre participation.

Pour cela, il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous et prendre une à deux minutes pour répondre à cette enquête.

https://adobeformscentral.com/?f=1qS%2A9Q3EIfNFqz3y3pUJMQ

Dés à présent, nous vous invitons à consulter notre blog basé sur la Sécurité et l’Organisation Informatique : www.stephaneseban.com\blog

Merci de votre participation,

S. SEBAN

Dirigeant OCSG Informatique

 

Enquête sur la Sécurité Informatique des PME

ENQUETE SECURITE INFORMATIQUE – OCSG INFORMATIQUE

Le cœur de métier de notre société est l’optimisation et la sécurisation des systèmes d’informations des PME.

Nous constatons malheureusement que la Sécurité Informatique n’est pas un sujet important dans l’esprit des dirigeants de PME.

Or, dés le premier incident technique (Problème matériel, dégat des eaux, vols, incendie…), les difficultés de continuité de l’activité apparaissent et la remise en route du système d’informatique devient très complexe (donc très couteux et avec des risques de pertes de données).

Aussi, nous réalisons actuellement une enquête sur l’impact de la sécurité Informatique au sein des PME.

Vous trouverez ci-dessous le lien vers cette enquête qui nécessite que quelques minutes pour y répondre.

 https://adobeformscentral.com/?f=soLtT7Ew1gGN8IQIVzsf2Q

Dés le nombre de réponse conséquent, nous afficherons sur le blog le résultat de l’enquête.

 Merci de votre participation.

S. SEBAN

Dirigeant OCSG Informatique